Interview avec Philippe Carreau, Président fondateur de Copiver

The Territory

Nous avons eu le plaisir de discuter avec Philippe Carreau, Président fondateur de COPIVER, une entreprise d’impression numérique adaptée et partenaire historique du festival. Grâce à lui, nous pouvons être sûrs que les impressions réalisées dans le cadre du festival respectent une démarche écoresponsable et inclusive.

Pourriez-vous vous présenter ?

Philippe CarreauAvant tout, je suis un acteur reconnu dans les métiers de l’impression numérique et le fondateur de la première entreprise adaptée française dans ce domaine. Copiver est une entreprise multi-certifiée, réputée pour son engagement historique en faveur du développement durable, notamment en matière de protection de l’environnement. L’attribution par le comité olympique des JO Paris 2024 du marché des impressions quotidiennes du COJO à Copiver témoigne de la force de nos valeurs, de notre fiabilité, de notre expertise et de notre réactivité.

En quoi Copiver est-elle une entreprise engagée ?

Depuis notre création, nous défendons l’excellence des entreprises adaptées, qui emploient 55 000 salariés, dont 40 000 en situation de handicap.
L’égalité des chances, la non-discrimination à l’embauche, l’inclusion durable, une véritable logique d’entreprise, la qualité, la compétitivité et la réactivité sont nos principaux atouts, qui nous permettent de rivaliser avec toute structure dite ordinaire sur ce marché très concurrentiel de l’impression.
Nos engagements en matière de RSE, nos actions pour la protection de l’environnement, notre mission sociale d’entreprise adaptée, ainsi que notre gouvernance axée sur une gestion avancée des ressources humaines sont nos guides pour appréhender les risques et améliorer notre performance globale.

Comment a commencé votre histoire avec les Deauville Green Awards ? En quoi ce partenariat fait-il sens pour Copiver ?

Nous accompagnons les Deauville Green Awards depuis 2016. Les valeurs du festival étaient déjà proches des nôtres, notamment en ce qui concerne le développement durable sous toutes ses formes.
Mon parcours personnel et professionnel, centré sur le triptyque social/environnemental/humanitaire, a également contribué à ce rapprochement.
Mais au-delà de mes engagements personnels, c’est tout le travail des équipes qui a construit la belle histoire entre Copiver et le festival.

Quelles sont les forces de votre partenariat avec le festival ?

D'abord, la rencontre entre deux acteurs de la durabilité, tous deux précurseurs dans leurs domaines respectifs. Ensuite, l’écoute, l’intérêt mutuel, les échanges, le respect, ainsi que la durée du partenariat entre nos équipes, qui ont tissé au fil des années des liens sincères et solides à tous les niveaux.

Meilleurs souvenirs ?

Professionnellement, c’est ma mise en contact, grâce au festival, avec la direction générale d’ENERCOOP, ce qui a permis à Copiver, dès 2018, de basculer vers une alimentation de son site de production en énergie 100 % renouvelable.
Ce n’était pas une décision anodine pour une PME de notre taille à ce moment-là, mais nous ne le regrettons absolument pas.
Hors du cadre professionnel, c’est l’ambiance deauvillaise du festival, qui tient ses promesses chaque année, la gentillesse et l’engagement de toutes les équipes et participants, ainsi que la bienveillance de François Morgant, son président.

Un défi commun pour Copiver face au développement durable et aux questions de société ?

Que nos actions et l’image d’organisations engagées qui nous lient se transforment en un socle commun au sein de la société civile et de l’économie au sens large.

En quoi le festival répond-il aux attentes de Copiver ?

Il s’agit de retrouver, côtoyer et échanger avec des personnes, organisations et entreprises qui participent activement à la transition écologique et à la protection de notre planète.
Il s’agit aussi de marquer Copiver par cet engagement initial et de le porter au même niveau que notre engagement pour la défense des droits des personnes en situation de handicap.

Le mot de la fin ?

Qu’il n’y ait pas de fin !